mercredi 27 février 2013

Un dernier regard

"Les battements vifs et langoureux des ailes d'un papillon
ne font que refléter les pensées de celui qui les observe"

Devine qui c'est ! comment ça c'est trop trop évident ? Et oui, t'es trop fort t'as deviné, c'est moi !
Je sais que je vous manque mes cocos, (très joli mot par ailleurs) mais vous savez ce que c'est, le bac blanc et tou, je suis en première, j'ai pas le temps de me loisirifier, je suis trop occupé à culpabiliser parce que je ne révise pas, mais ne vous inquiétez pas ! Je reviens toujours, d'ailleurs comme on dit le canard frappe toujours deux fois, mais ne se casse pas trois pattes :)

Toujours est-il que moi, ma folie, mes treize gens dans la tête (ou sept, ils bougent trop j'arrive jamais à compter) bref, tous ces petits trucs qui font que vous m'aimez, nous allons rester encore un petit moment par ci, dans ce coin là-bas ---->

Vous devez sûrement vous demander "mais valou, pourquoi ce joli petit texte au-dessus ?" Soyez rassuré, cette réponse a bien une question. Ou l'inverse.

Sinon, aujourd'hui j'ai parlé avec une amie qui a déménagé il y a de cela quelque temps, et ça m'a fait super plaisir et tout et tout, et elle m'a redonné le goût de l'écriture au moins pour ce soir, faite que ça dure (trop négatif) et du coup vous avez le droit à un petit textounet, tout mimi tout trognon, en exclusivité des éditions lafon michel pasquier
Bref vous 'avez compris, voila ce texte :

Encore un peu plus bas
Le ciel s'embrasait lentement tandis que l'astre s'élevait au-dessus de l'horizon. La nature s'éveillait au rythme du chant des oiseaux. Il virevoltait là, surplombant ce parterre verdoyant, contournant les arbres et côtoyant les libellules. Les rayons que dardait le soleil se reflétaient sur ses écailles flamboyantes, lui donnant un éclat majestueux. Gracile, il louvoyait langoureusement, imitant les boucles que décrivait les abeilles, et voguait parmi cet océan de vie. Insouciant, il buvait le divin nectar qui lui était offert et se gorgeait de lumière et de chaleur. Léger, il se laissa porter par le vent et se posa sur mon doigt déployé, me plongea ses yeux dans les miens, et reparti de plus belle.
Demain, il ne sera plus, et pourtant, il est là, remplis d'entrain, comme s'il ne devait disparaître, simplement heureux, comblé sans préter attention au reste. Les hommes arrivèrent finalement sur moi, leurs lames m'aveuglant momentanément. S'il vous plaît, juste un dernier regard.

Bon, j'avoue c'est un peu triste, c'est pas du Mozart (c'est vous dire) et c'est pas non plus très
Je vous laisse donc commenter ce petit machin là-haut afin que je puisse peut-être, dans l'éventualité d'une quelconque envie qui pourrais avec de le chance survenir, le modifier et le rendre plus long, agréable à lire, blablabla.
Merci à tous d'avoir vécu cette aventure avec moi, je vous rends l'antenne :)

Ah bah ça marche pas comme ça ici, mince, bisouX à plus :)

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Quelle est la différence entre une pastèque et un bébé ? 
La pastèque ne crie pas quand on la frappe avec un marteau
Pour approfondir le sujet : Butterfly (beurre volant) - Superbus

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Un grand merci à tous ceux qui en laisse =D